La structuration intensive des rythmes – 1954

Paul Fraisse et Geneviève Oléron
Article publié le 9 mai 2012
Pour citer cet article : Paul Fraisse et Geneviève Oléron , « La structuration intensive des rythmes – 1954  », Rhuthmos, 9 mai 2012 [en ligne]. https://www.rhuthmos.eu/spip.php?article479

Cet article a paru pour la première fois dans L’Année psychologique, N° 54, 1954, p. 35-52.


L’analyse des structures et des intervalles permet de penser que le son le plus intense dans une série isochrone détermine normalement le début du groupement, mais ce son ayant pour effet d’allonger l’intervalle qui le suit celui-ci peut alors jouer le rôle d’une pause entre deux groupes, et dans ce cas le son le plus intense se trouve terminer le groupe. Ce double effet expliquerait que l’accent est spontanément placé dans les structurations soit au début soit à la fin. Certains sujets seraient plus sensibles à l’effet direct de l’accent, d’autres à son effet indirect sur la durée des intervalles temporels.

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