TRANSDISCIPLINAIRES – Une intervention d’André Markowicz : « Traduire : figures du rythme, figures non traduites » – 7 mars 2012

Rhuthmos
Article publié le 1er mars 2012
Pour citer cet article : Rhuthmos , « TRANSDISCIPLINAIRES – Une intervention d’André Markowicz : « Traduire : figures du rythme, figures non traduites » – 7 mars 2012  », Rhuthmos, 1er mars 2012 [en ligne]. https://www.rhuthmos.eu/spip.php?article535

Séance du 7 mars 2012 : Séminaire « Langues de l’exil et exil des langues II »


14h30-17h30, Réseau Asie & Pacifique (CNRS-FMSH), 190-198 avenue de France,75013 Paris, Noyau A, salle 638, M° Quai de la Gare, bus 89.


Que signifie traduire le rythme ? — dans quelle mesure la perception du rythme est-elle transmissible ? quand pouvons-nous parler d’équivalence rythmique ? et que faire pour ce qui reste en dehors de toute équivalence ? — de cet en-dehors que j’appelle « figures », pas même des présences, pas même des contours, — comment faire sentir ces existences non verbales sans lesquelles rien du texte n’a de sens, sans lesquelles le sens et l’auteur se trouvent en exil ?


Discutants : Arno Renken et Béatrice Gonzales-Vangell


André MARKOWICZ (a.marko@wanadoo.fr) : Traducteur de théâtre, de poésie et de prose, il a traduit une centaine de livres, dont toutes les œuvres de fictions de Dostoïevski, Eugène Onéguine de Pouchkine et une quinzaine de pièces de Shakespeare (Hamlet, Macbeth, Othello, Richard II, etc.). Avec Françoise Morvan, il a traduit tout le théâtre de Tchekhov, et Le songe d’une nuit d’été. Son dernier livre, Le Soleil d’Alexandre, chez Actes Sud regroupe deux cents poèmes lyriques de Pouchkine et de poètes de sa génération. Il a publié deux livres de « poèmes non-traduits », Figures, au Seuil, et, chez Publie.net, Les gens de cendre.

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