Nouvelles avancées en biologie numérique

Rhuthmos
Article publié le 1er novembre 2011
Pour citer cet article : Rhuthmos , « Nouvelles avancées en biologie numérique  », Rhuthmos, 1er novembre 2011 [en ligne]. https://www.rhuthmos.eu/spip.php?article444

Dans deux publications datant de 2009, l’équipe du Professeur Montagnier décrit une propriété inédite de l’ADN d’agents infectieux, les bactéries dans un cas et le VIH dans l’autre : l’ADN induirait des nanostructures dans l’eau émettant des ondes électromagnétiques de basse fréquence après filtration, agitation et dilution. Cela ouvrirait la voie à un système de détection hautement sensible des infections bactériennes chroniques humaines et animales. Le professeur Montagnier espère se servir de ces signaux électromagnétiques, support d’une mémoire qu’aurait gardée la solution où s’est trouvé l’ADN de l’agent infectieux, comme d’un marqueur biologique de l’infection. Il émet l’hypothèse que des bactéries seraient impliquées dans l’autisme et la maladie d’Alzheimer.


Dans un article publié en 2010, il montre que les signaux électromagnétiques émis par une solution contenant de l’ADN de VIH peuvent sous certaines conditions rendre « active » de l’eau pure sous un champ magnétique de 7 Hz appliqué pendant plus de 18 heures. Si l’on ajoute tous les ingrédients nécessaires, l’eau pure ainsi « informée » serait capable, selon les expériences réalisées, de régénérer de l’ADN identique (à 98 %) à l’ADN initial.


Source : Wikipedia, « Luc Montagnier »

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