Optique ou haptique : le rythme dans les études sur l’art au début du XXe siècle

Article publié le 23 octobre 2017
Pour citer cet article : , « Optique ou haptique : le rythme dans les études sur l’art au début du XXe siècle  », Rhuthmos, 23 octobre 2017 [en ligne]. https://www.rhuthmos.eu/spip.php?article1604

Ce texte a déjà paru dans Michael Cowan/Laurent Guido (Ed.), « Rhythmer », Intermédialités. Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques, n° 16, Montréal 2010 , p. 35-55. Nous remercions Georg Vasold de nous avoir autorisé à le reproduire ici.


En août 1897 paraît dans Der Kunstwart, revue influencée par les mouvements réformateurs de l’époque, un article du jeune Oskar Bie, alors enseignant en histoire de l’art à la Technische Hochschule de Berlin et rédacteur en chef de l’influente Neue Deutsche Rundschau. Bie se penche sur un phénomène de son temps qui, comme il l’écrit lui-même, « ne semble pas insignifiant pour l’art ». Il s’agirait d’une manifestation urbaine largement répandue qui « se prête à des considérations esthétiques [et] deviendra prochainement un facteur culturel ».
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