L’anniversaire que l’on célèbre autour d’un gros gâteau criblé de bougies n’a pas toujours été cette fête gaie que l’on connaît. Au Moyen Âge, le seul anniversaire qu’on révère est celui de la mort… et de l’entrée au royaume des cieux. L’historien Jean-Claude Schmitt, auteur de L’Invention de l’anniversaire, Paris, Arkhè, 2010, nous raconte l’évolution de cette coutume.